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Ca fait un moment que ça me pèse et encore plus longtemps que ça murie…

Surtout qu’on m’appel tous les jours à manifester pour tout et pour n’importe quoi…

Pourtant, l’augmentation du nombre de manifestations et l’écho, les résultats qu’elles obtiennent devraient appeler à la prudence ou au moins à la réflexion… 

 

A chaque nouvelle opération correspond un contre feu qui réduit un peu plus le champ, la porté de la suivante. 

A tel point que l’on peu parler de la naissance d’un phénomène de vulgarisation, de discréditation, de répulsion et d’indignation de ce qui est pourtant l’expression première de l’indignation. Plus simplement, il devient indigne de s’indigner puisqu’il est indigne de manifester…

 

C’est bien connu et tous les 20 heures sont unanime. Les manifestants quel qu’ils soient sont tous des irresponsables dangereux qui ne voient que leur intérêt au dépend et au détriment de celui des autres…

 

Alors que faire ? Comment faire ? Si la manifestation est aujourd’hui un outil contre productif. Comment faire pour exprimer cette indignation plurielle, récurante et généralisée ???

 

La réponse est simple et j’espère qu’elle vous apparaitra limpide… 

Puisque la manifestation est un outil qui ne fonctionne plus il faut changer d’outil. 

Changer d’outil oui !!! Mais pour quel autre outil ?

 

Posez vous la question en ces termes : De quoi ont t’ils besoin pour que leur machine fonctionne ?

De vous, ou plutôt de votre consommation. 

Donc cessez de consommer. Réduisez là encore plus que l’effort qu’ils vous demandent de faire pour réduire les déficits et la dette.

Dite vous que cela ne durera qu’un temps et passez au strict minimum du minimum.

Quand ils lâcheront du lest ne les suivez pas en ouvrant les vannes.

 

Sans votre consommation, donc sans votre fric, ils crèveront tous la gueule ouverte.

 

 

Vous voyez, pas de manifestation et pas de récupération possible. Le jour ou vous déciderez tous en conscience de ne plus jouer le jeu de la consommation le jeu cessera faute de combattant… 

A 18 ans l'oligarchie accorde à tous les individus le droit de vote. 

Il est plus juste de parler du droit d'élire puisque le vote n'est quasiment jamais utilisé et la dernière fois  qu'il en a été fais usage, le résultat de ce vote a été purement et simplement bafoué par le pouvoir en place.

 

A 18 ans donc, les individus deviennent majeur avec le lot de "responsabilités" que cela intègre... 

 

Sauf qu'à 18 ans le simple fait de pouvoir participer à l'élection déresponsabilise les individus. La seule responsabilité "citoyenne" qui leur incombe est celle de désigner dans le panel de "représentants" triés et sélectionnés par des ultras minorités (les partis) le maitre qui fera à leur place...

 

Donc oui, un vrai beau paradoxe. La ou la majorité donne des responsabilités, l'élection les délègue... Elle est pas belle la vie ???

 

Ceci dit, le système est très bien foutu puisqu'il permet à tout le monde de ne devoir rien assumer du tout. 

L'électeur délègue à un représentant pour ne pas avoir à assumer et le représentant est élu pour un mandat représentatif et non impératif, mandat qui par conséquent ne lui donne aucune responsabilité...

 

C'est nickel et c'est super bien bordé... 

Bon, après faut peut être pas trop s'étonner si ça part en couille vu que personne n'est responsable de rien. 

L'électeur élit pour ne pas faire et l'élu ne fait pas puisqu'il n'est là que pour représenter et qu'il n'a dans son mandat aucune obligation de faire...

 

A méditer...

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La manifestation… Outil d’indignation ou prétexte à récupération, à interprétation ???

Articles...

Le paradoxe de la majorité... et du droit de vote à la majorité...
être un électeur… ou devenir citoyen ??

Durant 20 ans j’ai oeuvré, chaque jour j’ai oeuvré y croyant dur comme fer.

Ce n’était pas bien, il ne fallait pas que ça soit. Toute cette exclusion était de trop, était honteuse.

Durant 20 ans j’ai inséré, à grand coup de projets innovants, à grand coup d’énergie, d’imagination, de réflexion, d’études et d’analyse j’ai créé des outils, des programmes, des méthodes…

Durant 20 ans et chaque jour je prenais en pleine face la violence et le fardeau contenu dans un mot. Un tout petit mot. Un mot de rien du tout et pourtant…

« Insertion », avec le recul et la distance qu’il permet aujourd’hui je ne l’utiliserai plus. Je peu même dire que je le bannirai…

Il n’est pas d’insertion possible dans un monde ou l’injustice, les inégalités, la peur et la haine de l’autre son norme…

Il n’est pas d’insertion possible dans un monde inadapté à l’homme…

1573, c’est le nombre des gens remis en selle en 2001 au moment ou j’arrêté de compter. Comme j’ai sévit jusqu’en 2009 et que je met en oeuvre mes propres outils et mes propres méthodes je multiplie les « résultats ». Je fais exploser mes résultats…

Aujourd’hui je considère avoir oeuvré à remettre en selle entre 2000 et 2500 personnes…

Aujourd’hui je considère avoir adapté entre 2000 et 2500 personnes à un monde inadapté à l’homme…

Je ne sais pas si vous prenez la mesure de cette analyse et les effets induits de l’introspection qu’elle produit ?

Je peu vous dire, que c’est pas simple et que ça fait drôle d’expérimenter en 3D l’adage « l’enfer est pavé de bonnes intention. ».  

Pire… La conclusion de cette analyse nous dit quoi ? Ce n’est pas les exclus qui sont le plus à plaindre. C’est les inclus…

J’entend déjà les « il exagère de nouveau, il amplifie tout… » Je veux bien, mais si c’est le cas et pour que ce soit le cas prouvez moi que ce monde est adapté à l’homme…

Pour ma part aujourd’hui je considère avoir été le complice de ce monde durant 20 ans. 

Pour ma part aujourd’hui je considère que ma mission d’adaptation à l’inadapté a porté préjudice à 2500 humanités…

 

Ceci me conduit naturellement à me poser la question suivante : « Phil, n’es tu pas quelque part l’artisan d’un crime contre l’humanité ? » 

Etre adapté à un monde inadapté à l’homme…

Un électeur n’est pas un citoyen.

Tant que l’électeur n’accepte pas se fait il est inutile d’attendre de lui quelque écoute que ce soit, quelque ouverture d’esprit que ce soit, quelque volonté de changement que ce soit.

L’accès à la citoyenneté a un prix, ce prix n’est pas celui qui consiste à glisser un bulletin dans une urnes les jours ou les candidats à l’élection crient « aux pieds ! » et que l’électeur cavale pour remplir son « devoir ». Devoir qui se résume à remplir son office… 

Oui, l’accès à la citoyenneté a un prix et ce prix et celui de son apprentissage. On ne nait pas citoyen on le devient. 

 

Le système qui lui n’a que faire de citoyens, ne forme pas à ça, pas plus qu’il ne prépare à ça. Simplement parce que le système n’a pas besoin de ça. 

Lui son kiff, son besoin c’est l’électeur, parce que son support c’est l’élection. Et un bon électeur ça doit pas trop réfléchir et ça ne doit surtout pas s’émanciper, s’autonomiser…

Un bon électeur répond à cet adage « plus c’est con, plus c’est bon »… Il ne faut surtout pas qu’il en sache de trop et il ne faut surtout pas qu’il en face de trop. Sinon il pourrait lui venir l’envie de faire vu qu’il verrait que c’est pas si sorcier que ça de faire et de ne plus faire faire… 

 

Autre outil important. Pour entretenir le mythe de la complexité des missions de l’élu, l’élu crée le programme. 

Le programme se truc de plusieurs pages, bien écrites, ce truc qui fait rêver. 

Ce truc qui r’appel à l’électeur qu’il est nul et qu’il ne saura pas faire. 

Ce truc qui lui imprime en certitude que la politique c’est un métier réservé à une élite.

Que le programme ne serve à rien ou au mieux à torcher les fesses de l’élu, qu’il ne soit jamais tenu, jamais respecté, jamais réalisé est un détail vu que la conjoncture, cette salope de conjoncture vient toujours compliquer la « tâche » de l’élu, le freiner dans sa course, lui mettre des bâtons dans les roues. 

Oui, la conjoncture cette salope qui n’est jamais présente dans les programmes au moment ou on les écrit et qu’on ne peu par conséquent jamais intégrer pour écrire des programmes réalistes… 

Ca doit être vraiment très compliqué ce métier de l’élu, oui, c’est vrai, dans les autres métiers les professionnels peuvent intégrer le truc que eux appels « les aléas du marché ». En politiques c’est beaucoup plus compliqué vu que le marché il n’a pas d’aléas. Et puis même si il en avait, il faudrait faire avec vu que c’est lui le patron… 

 

Mais je m’égare et je m’éloigne de mon sujet. 

Revenons donc à l’électeur et à sa pseudo citoyenneté auto proclamée, validée et confirmée par ces élus expert en tout et bon en rien…

 

Oui, revenons en une phrase à son état de citoyen, au contenu de cet état…

En quoi est t ‘il citoyen ? Il s’exprime par l’élection, en son âme et conscience, à chaque fois que l’élu le siffle pour qu’il le face ? 

Pour quoi est t’il citoyen ? Parce qu’il est née ici et qu’il s’exprime par l’élection, en son âme et conscience, à chaque fois que l’élu le siffle pour qu’il le face ? 

Woaw !!! impressionnant vous ne trouvez pas ? 

Quelle mission, quelle tâche, quel poids, quel fardeau, quelle croix …. 

Pourtant, dans les faits c’est ça qu’on lui a appris et c’est pas de sa faute si lui il fait ce qu’on lui a appris.
On lui a dit démocratie et droit de vote et mort pour ça et devoir et élection. On lui a tout mixé pour qu’il le prenne avec une paille et lui, il est partie avec ça… 

Content, heureux même. Ben oui, c’est cool d’être citoyen, on te file un Milk shake…

 

Moi qui bosse 6 heures par jour, 6 jours sur 7 depuis 3 ans pour me former à la citoyenneté et qui n’en suis qu’au prémisse de cet état. J’avoue que ça me laisse rêveur, j’avoue que ça me fait rêver. 

3 formules à 2 balles, 2 coup de shaker et en route Simone t’es devenu électeur, donc tu es citoyen… 

Pourtant apprendre c’est long, c’est même très long et nos élites en sont un exemple criant vu qu’ils ont fait de très longues études pour aujourd’hui diriger le pays. 

Même si c’est à sa perte, ils dirigent eux leur job ils se résume à ça puisque l’électeur les élit pour ça, diriger…

Alors oui apprendre c’est long, mais c’est pas que ça. Apprendre c’est aussi et c’est surtout accepter de changer. Parce que apprendre ça fait changer. 

Changer de point de vue et changer d’opinion. Changer d’approche, de méthode, de discours…

 

Et oui, apprendre c’est accepter de changer et c’est pour cette raison, pour cette évidence que je débute mon propos par ces mots : « Tant que l’électeur n’accepte pas se fait il est inutile d’attendre de lui quelque écoute que ce soit, quelque ouverture d’esprit que ce soit, quelque volonté de changement que ce soit...

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